samedi 7 janvier 2017

L'univers douillet des ondes domestiques procurées par les compteurs

Il faut se souvenir que ces ondes s'ajoutent partout à celles déjà diffusées avec prodigalité par les émetteurs de télévision, ceux des forces de l'ordre, ceux des antennes-relais de tous ordres dont le support du téléphone mobile 2G, 3G, 4G... et puis celles plus proches encore des téléphones portables que vous avez toujours dans votre poche, ou... à l'oreille !  Ne pas oublier les téléphones dits "fixes", mais sans fil (DECT), très agressifs également, les lampes dites basse consommation dont l'allumage provoque un gros pic de puissance et d'émission et qui émettent par saccades, les plaques à induction, les fours à micro-ondes vétustes.
 
 



Déjà il y a quelques années, un article dénonçait les dangers de la 2G pour les êtres vivants, et craignait l'arrivée de la 3G. On est passés sans vergogne à la 4G bien plus prégnante et agressive, mais ce n'est pas grave : cela ne dépasse pas les normes.


En France, où l'on applique les recommandations "européennes", selon les gammes d'ondes les seuils s'étagent de 40 à 56, voire 60 volts par mètre. Ah non, non, non, on ne dépasse pas. C'est bien.


L'OMS souhaite qu'on ne dépasse pas, par sécurité, le seul de 0,6 V/m. C'est ce que s'impose, par exemple, la Hongrie. D'autres se contentent de 6, 10.... comme on le constate, la France est le bon élève, le chouchou de la Commission...

Ce croquis rapide de ce matin indique que les ondes, nous baignons dedans : celles dispensées par nos chers compteurs ont la particularité de se projeter par impulsions, brèves, mais d'autant plus impactantes : ceux qui naissent maintenant risquent de les subir toute leur vie ; il n'est pas certain qu'elle ne soit pas abrégée par ce régime, d'une façon ou d'une autre. Cancers, maladies de dégénérescence ou de dérèglement hormonal ou immunitaire, tout est possible. Ce sera sur le long terme, donc bien plus encore que pour l'amiante par exemple, les personnes affectées ne pourront se retourner contre personne. Comme les assurances se gardent bien de prendre en charge ce risque, ce sera tant pis pour les victimes.
 
C'est bien pourquoi il est si important de réagir tout de suite, alors que les déploiements n'en sont qu'à leur début. Réagir individuellement, interpeller nos élus locaux afin qu'ils prennent des mesures de sauvegarde en refusant ces compteurs. Malgré la propagande officielle qui soutient le contraire, ils en ont le droit. Le bien de leurs administrés passe très largement avant les revenus déjà colossaux de grands industriels, et le besoin maladif de la part de politiciens pervers de surveiller ceux qui pourraient précisément en avoir assez de leurs intrusions tous azimuts.

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