dimanche 31 juillet 2016

Une analyse juridique prouve que les municipalités peuvent refuser le Linky

Bonjour.

Il s'agit d'un texte long, mais essentiel. Il nous a été envoyé par Annie Lobé, journaliste scientifique indépendante.

En quatre-vingts pages, le rapport du cabinet juridique Ravetto est décortiqué, et soumis à un feu roulant de critiques. Ce rapport prétendait  contraindre les maires à ne pas résister à la vague Linky.

Il semble que ce serait plutôt contre-productif, d'autant que ce cabinet ne pouvait guère prétendre à l'objectivité : trop de conflits d'intérêts potentiels.

A ce jour (31 juillet 2016) deux cent trente communes ont exprimé leur opposition aux compteurs dits "intelligents". Pas que de petites communes : Caen est du nombre (110 000 habitants). Avec les informations, l'opposition grandit chaque jour. 

Hier encore, nous avons pu distribuer des tracts à Nantes, avec le plus souvent un impact réel. De nouvelles personnes apprennent encore aujourd'hui que leurs compteurs ont été, sont ou vont être changés, pour satisfaire le besoin de collectes d'informations diverses sur leur façon de vivre (oui, les compteurs "connectés" le permettent). 

Le seul bémol officiel viendrait des grands industriels, qui jugent cette scrutation de nos vies pas encore assez intrusive : cela a été dit il y a deux ou trois mois à Bruxelles. Donc, il faut s'attendre à subir une nouvelle vague de changements de compteurs, avec de nouveaux appareils dont la particularité serait d'émettre non par impulsions toutes les dix minutes, mais en continu. Cela signifierait encore plus d'ondes émises, et certainement encore bien plus de réémetteurs installés, alors qu'il y en a déjà bien trop. Il faut signaler que déjà, dans certains secteurs, les compteurs d'eau sont ainsi équipés, et émettent EN CONTINU. Raison invoquée : cela permet de détecter très vite les fuites.

Il faut savoir, et nous avons de nouveaux témoignages directs, que les ondes rendent de plus en plus de personnes malades. Nous ne détaillerons pas ici ces témoignages, par discrétion envers les personnes concernées, et terriblement concernées. Quand de façon officielle quelqu'un se voit accordé UN AN d'arrêt maladie, et en ressort malgré tout affaibli et obligé de se protéger au maximum des ondes pour ne pas rechuter, c'est que la situation est grave. Sans compter tous ceux qui se sentent mal, et ne savent pas pourquoi. Rappel des symptômes : vertiges, acouphènes, plaques sur les bras, démangeaisons, parfois exacerbations soudaines des grains de beauté qui se mettent à saigner, cancers qui accélèrent.... il est aujourd'hui admis par la plupart des médecins que cela vient d'un trop-plein d'ondes électromagnétiques diverses (plaques à induction, fours à micro-ondes, téléphones portables de plus en plus puissants, maintenant 4G, bientôt 5G, téléphones intérieurs DECT sans fil) : ajouter encore les compteurs "communicants" genre Linky, Gazpar, ou ceux pour l'eau, avec leurs réémetteurs supplémentaires posés partout fait souvent basculer la personne dans l'insupportable.

Il ne reste qu'à espérer que ne se déclenchent pas, en plus, des incendies, ou des détériorations de matériels électriques branchés et en fonctionnement. De nombreuses personnes ont vu ces désagréments déjà, il ne faudrait pas que cela continue. Pour rappel, ce genre de sinistre N'EST PAS couvert par votre assurance, par aucune ! Le pire serait sans doute un incendie causé par le compteur, dans une école, ou la nuit dans une maison de retraite municipale. Le maire serait alors confronté, sans filet, au pire. Contactée par nos soins, le 16 juin, la Société Mutuelle d'Assurance des Collectivités Locales n'a pas osé répondre qu'effectivement elle ne couvre pas les communes pour les accidents liés aux ondes électromagnétiques : elle aurait été bien trop contente de nous rassurer dans le cas inverse.

Le collectif 44 Contre Linky reste plus que jamais mobilisé.
Jean-Claude

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